Hugues de Kerdrel court en solo son second trail : son programme sportif consiste à courir 25km de course à pied sur la Presqu’île de Crozon (Finistère).  Son objectif : Aider, grâce à des dons, le programme IODYSSEUS afin de rechercher des planctons en haute mer pour créer une crème solaire moins dévastatrice sur les éco-systèmes.

Comme tout un chacun, Hugues rencontre et perçoit la pollution et ses effets néfastes partout dans le monde. Par cette action, Hugues de Kerdrel souhaiterait une participation plus massif sur l’implication de chacun sur les questions environnementales : « chacun d’entre nous peut facilement participer à la dépollution de notre océan pour protéger non seulement la planète et donc nous aussi ». Il organise un second Trail for the Ocean afin d’œuvrer dans ce sens, car se dépasser par le sport c’est aussi faire un geste positif pour la mer et pour nous.

A quoi va servir la collecte ?

POURQUOI UN TRAIL, ET POURQUOI L’OCEAN?

« Surfer et courir sont pour moi deux passions indissociables. Comme sont indissociables la mer et la terre. Sur l’eau, je vois souvent la pollution plastique. Quand je cours, elle est là aussi. C’est justement lors d’un surf que s’est imposée l’idée de faire quelque chose pour l’Océan : courir, seul, pour la 2nde édition le Trail Pour l’Océan. Pourquoi seul ? Hugues partage l’idée que chacun d’entre nous a la capacité d’initier des énergies collectives positives pour la planète. Il invite la population à réussir ce défi : apporter, le 7 Septembre prochain, à l’arrivée du Trail, la totalité de vos dons au programme IODYSSEUS qui, « à bord de son trimaran de course, vise à développer toute action d’intérêt général, scientifique, éducatif, sportif ou environnemental dans le domaine de la connaissance et de la préservation des océans ».

POURQUOI CREER UNE CREME SOLAIRE MARINE?

1 de nos 2 poumons respire grâce à l’oxygène que dégagent les planctons de l’Océan. Or, les crèmes solaires ont un impact global sur les éco-systèmes littoraux. Certains Etats, comme Hawaï, ont fait évoluer leur législation sur la question. Limiter l’impact de ces crèmes passe par de nouveaux horizons, et la recherche s’oriente vers le micro-plancton par exemple. La bonne molécule se trouverait dans les micro-organismes des aérosols marins – cette multitude de bulles, d’écume, produites par les vents, les courants ou le ressac.