Le réseau Bruded organisait le 1er octobre 2020 des rencontres autour de l’habitat léger : yourtes, tiny houses et autres petits logements parfois mobiles sont-ils l’avenir des communes bretonnes rurales et rurbaines ?

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Mikaël Laurent, chargé de développement du réseau Bruded

Si elles ont souvent suscité la méfiance des élus, les habitations légères, et parfois provisoires et nomades, ont désormais le vent en poupe. Aux traditionnels caravanes et mobil-homes sont venues s’ajouter yourtes, roulottes ou mini-maisons (tiny houses) dans lesquelles les habitants souhaitent vivre au long cours, pour des raisons financières ou philosophiques (réduire son empreinte carbone).

Les communes sont donc confrontées à de nouvelles demandes et questions. Le réseau Bruded avait déjà organisé une première rencontre sur ce sujet en 2017 ; la seconde a eu lieu le 1er octobre 2020 à Guipel (Ille-et-Vilaine) et a affiché complet. 

Loi Alur et habitat léger

La loi Alur apporte quelques réponses réglementaires sur la question des habitats légers. Pour le reste, c’est le PLU (Plan local d’urbanisme) qui détermine l’installation ou non de ces habitats. Certaines commune rurales s’interrogent sur la création de hameaux, y compris pourquoi pas en logement social. Enfin, l’habitat léger peut être une solution pour héberger des personnes qui se lancent dans une activité agricole sur une zone non constructible. 

Pour en savoir plus, consultez ce dossier de Bruded sur l’habitat léger