Sur la commune de Plouarzel à Lezena, Laëtitia et Bertrand ont créé l’écolieu Padus. C’est à la fois une micro-ferme et un jardin en permaculture, un outil pédagogique… on y expérimente concrètement la transition et de nouvelles façons d’agir et de penser.

Retrouvez le lundi dans Lem les initiatives pour le monde d’après avec le collectif Transition citoyenne en pays de Brest 

 

La philosophie générale de l’écolieu Padus : la permaculture

Dans cet endroit où se mêlent ateliers, formations, stages, sur les principes de l’éducation Montessori, conférences et woofing, on travaille donc son esprit et la terre… et pas n’importe comment. Bertrand a choisi la permaculture et si vous écoutez régulièrement Radio Évasion vous savez que c’est bien plus que du simple « jardinage ».

Découvrir une autre façon d’éduquer : la méthode Montessori

A l’écolieu Padus, on peut apprendre : à cultiver la terre, à manipuler, à observer la nature… mais il n’y a pas d’un côté les sachants et de l’autre les apprenants. L’enfant n’est pas un vase à remplir, mais une source à faire jaillir. C’est toute la philosophie de l’éducation inspirée de Maria Montessori et que Laëtitia fait découvrir. Car elle est convaincue que c’est par l’éducation qu’on peut changer le monde, petit à petit.

Changer de vie et tendre vers l’autonomie, mais pas tout seuls

Un lieu de vie ouvert au collectif, outil pédagogique d’expérimentations et d’alternatives en faveur de la transition ; voici comment se décrit l’écolieu Padus sur sa page Facebook. Mais derrière l’association Buzug&Co qui propose des ateliers sur l’écolieu, il y a surtout Laetitia et Bertrand qui, un jour, ont décidé de changer de vie.

Un lieu collectif où toutes les idées sont bonnes

Ateliers, formations, stages, perm’apéro (apéros permaculture), conférences, woofing (coup de main contre gite et couvert),… les occasions ne manquent pas pour se rendre à l’écolieu Padus. Un lieu pour apprendre, partager, transmettre et vivre autrement, ensemble.

Une gouvernance ouverte et horizontale

Comment organiser un lieu où tout le monde est le.la bienvenu.e ? Comment empêcher toute verticalité dans la gouvernance? Les doutes et les réflexions n’en sont encore qu’au début.