Pour ce dernier épisode de l’année, je vous donne des conseils de lecture/visionnage.

Pour faire plaisir ou vous faire plaisir.

Quelques idées pour occuper les froides journées d’hiver qui s’annoncent…

Vous reprendrez bien un peu de science-fiction ?

Aujourd’hui je vais vous parler de plein de trucs

Aujourd’hui je vais faire un épisode un peu fourre-tout

En cette fin d’année, Noël approchant ,je me suis dit pourquoi pas vous donner des idées de cadeaux à faire à des amateurs de sf ou à vous-même , charité bien ordonnée ,tout ça ,tout ça…

Je vais aussi vous parler d’œuvres de SF qui ne justifient pas forcement d’une émission complète mais qui ,à mon avis, méritent le coup d’œil.

Je vous préviens ça risque de venir un peu en vrac ,je vous cite tout ça comme ça vient.

C’est fau je suis en train d’écrire ce texte et je viens de me rendre compte que j’ai oublié le x à faux.

On va commencer par une collection de bande dessinée : Jour J aux éditions Delcourt.

Le fil rouge de la collection tient en un mot : uchronie

Alors c’est quoi une uchronie ?

Définition du dictionnaire le robert :

Récit d’évènements fictifs à partir d’un point de départ historique.

Merci robert mais c’est un poil flou.

Une uchronie c’est un présent modifié à partir d’un évènement passé.

Mouais, c’est pas forcément plus clair….

Bon l’idée de l’uchronie c’est e se demander que ce serait-il passé si ?

Si Hitler n’avait accédé au pouvoir, si JFK n’était pas mort en 1963 .

C’est modifier la trame historique telle qu’on la connait et se demander comment elle aurait divergé.

C’est un exercice de réflexion ,on pourrai presque dire de paluchage intellectuel.

Mais en tout cas une libre interprétation de ce qui aurait pu se passer car par définition ça ne s’est pas passé.

Ou alors une évocation d’univers parallèles.

Bref

Ce que j’apprécie particulièrement dans cette collection , c’est le déroulement de l’histoire sur 2 niveaux.

Il y a l’histoire avec un grand H, a noter que j’ai écrit le h en question en majuscule, et l’histoire d’un personnage réel qui est passé à la postérité.

Cette narration à 2 niveaux est le plus souvent bien décrite.

En tant qu’amateur d’histoire contemporaine , je reconnais facilement des personnages du 20 eme siècle , pour ce qui est des périodes plus lointaines c’est moins évident mais une culture générale basique permet de bien s’y retrouver.

Les tomes ne sont pas tous à suivre, des fois une histoire se déroule sur 2 ou 3 albums.

Donc pas obligé de tous les lire pour pouvoir suivre l’intrigue.

Pour les amateurs du genre ou les rats de bibliothèques la collection commence a être copieuse , c’est rien de le dire ,47 albums au moment ou j’écris ces lignes et je les écris vraiment, ça aussi je l’ai vraiment écris… ça peut être sans fin…

Bref, collection Jour J chez Delcourt.

Tant qu’on est dans les bandes dessinées ,autre conseil

Alors autant Jour J a commencé en 2010 ,la prochaine a vu le jour beaucoup plus tôt

1946

Il s’agit des aventures de 2 hommes ,anglais, l’un est chef du MI 5, les services secrets anglais ,l’autre est un physicien nucléaire qui fume la pipe.

Ils ont un ennemi récurent Olrik.

Bon là vous devez voir de qui il s’agit, pour les derniers qui n’ont pas encore trouvé si je vous donne le nom de leur créateur : Edgard P Jacobs

Ça y est , Blake et Mortimer.

Ça peut paraitre étrange mais oui , je considère cette BD comme de la SF.

Au vu de leurs péripéties, oui c’est de la science-fiction .

On y parle de l’Atlantide avec des fusées, de machines qui modifie la météo, de voyage dans la temps ,de robots a forme humaine mais aussi de dragons.

Robots à forme de dragon, qu’on s’entende bien ,pas de dragons a proprement parler

Ou alors les robots-dragons ont utilisé la machine a voyager dans le temps pour créer les légendes a leur sujet , improbable mais bon les dragons, on e sait tous , ils sont un poil mégalos.

Toujours au rayon BD, il y a également Universal War One de Denis Bajram

L’histoire se déroule à partir de 2098 dans le système solaire qui sera le champ de bataille entre le gouvernement uni du système et un conglomérat de multinationales.

Les héros font partie d’une escadrille constituée de fortes têtes au passé lourd et chaotique.

L’ambiance est sombre, parfois déprimante mais les personnages principaux sont attachants et humains par leur faille.

Cette série de 6 tomes sera suivie par Universal War Two , logique …

Qui verra s’affronter une partie de l’équipe de Universal War One et des extraterrestres .

Oui je vous vois venir, si les humains ne vivent pas sur terre ils sont de facto des extraterrestres !

Merci la team premier degré ,on a compris vous pouvez disposer.

Pour les pinailleurs, on va dire que ce sont des extra-systemiens

Oui j’invente des mots ,je fais ce que je veux ,c’est mon émission

En plus le terme est clair et pis ça claque quoi !

Pour la petite histoire Denis Bajram a co signé la BD goldorak sorti fin 2021

Dans cet ouvrage on retrouve un japon paisible des années après le départ de Goldorak  mais une nouvelle menace approche.

Pour les téléspectateurs de ma génération, c’est drôle de retrouver cette série qui a introduit les méchas en France.

Ces grands robots surpuissants qui affronte des ennemis venus d’ailleurs .

Il a ouvert la porte à Gundam, Macross, Evangelion forcement !

Au cinéma les grands robots n’ont pas eu le même succès ,il y a bien eu Pacific Rim et sa suite disons discutable

En film d’animation parlant de grand robot je vous conseille le géant de fer sorti en 1999 .

Bon je me suis un peu écarté du sujet revenons à nos moutons électriques.

Dans le champ de la BD française on va trouver aussi le très bon Transperceneige de Lob ,Rochette et Legrand publie sous la forme d’un album en 1984

Cette œuvre aborde un sujet d’actualité ces dernières années : le changement climatique et il y a 40 ans ce n’était pas du tout dans les tuyaux.

Mais pas que ,c’est un huis clos par définition , logique dans un train.

Mais aussi une reproduction du monde à une toute petite échelle avec en queue du train les pauvres les indigents et plus on va vers l’avant plus on monte dans la société.

En 2013 est sorti son adaptation au cinéma par Bong Joon-ho.

Et ce film aussi est à voir ,déjà pour le tour de force de mettre l’histoire en scène dans un train  mais aussi pour le casting tout bonnement magistral.

On perçoit le changement d’ambiance au fur et à mesure de la remontée du train ,un choc des cultures en accéléré.

Je vous préviens, le film n’est pas d’un joyeuseté folle ,il est violent psychologiquement et visuellement.

Ceux qui l’ont déjà vu sauront de quoi je parle si je dis : bonne année.

Pour en revenir à la BD française ou du moins francophone , il y a les petits hommes.

Collection en 48 albums apparu en 1967 oui je sais c’est pas tout jeune, dans le journal de Spirou.

Vivier o combien fertile pour nombre de BD

Dans le plus pur esprit de l’école belge et proche visuellement pour les personnages de l’univers de Gaston Lagaffe.

L’histoire : un scientifique découvre une météorite dans son jardin en la bonne ville de Ravejois.

Le soucis, c’est que la météorite a des propriétés ,toute personne qui la touche rapetisse jusqu’à ne mesurer plus que quelques centimètres et c’est contagieux !

Les personnes qui ont touché des personnes qui ont touché la météorite sont affectées et ainsi de suite.

 

Ce qui fait que tout le village a rapetissé en 24h.

Tout ce petit monde, c’est le cas de le dire, va se cacher et fonder une nouvelle cité à leur échelle : Eslapion.

Et grâce à un savant, ils vont rapidement bénéficier d’une technologie en avance sur son temps.

Le style de cette collection est positif, ce n’est pas sombre, et les péripéties ne sont pas dramatiques.

C’est bon enfant, voila c’est ça le terme : bon enfant.

Toujours dans le registre de la bande dessinée : Valerian et Laureline par Pierre Christin et Jean Claude Meziéres.

Parue dans le journal Pilote en 1967 , pas jeune non plus.

Un point d’explication au cas ou certains se poseraient la question,je parle de BD dans des journaux .

A partir de 1938 pour le journal de spirou et 1958 pour Pilote , ces périodiques, hebdomadaires en général, vont s’adresser à un lectorat jeune.

Ils proposent dans leur pages des reportages , des interviews de célébrité ,de l’actualité avec un angle d’approche typé jeunesse.

Mais aussi de la bd ,qui prendra de plus en plus de place.

C’est ainsi que les lecteurs vont assister à la naissance de nombreux héros dont ils découvriront les aventures feuilletonnées au fil des numéros.

Dans les années 60 , ces journaux feront office d’incubateur en prise directe avec le public et qui sauront lesquels des ces histoires fonctionnent.

Ce sera le cas pour les 2 séries citées plus tôt qui passeront du journal aux albums.

Parenthèse dans la parenthèse , Spirou et Pilote vont au fil du temps des lignes éditoriales qui vont diverger.

Spirou va rester sur les enfants et les ados, Pilote va migrer vers les grands adolescents et les jeunes adultes avec des publication plus sarcastiques, voir sombres.

Un peu à l’image de Valerian, j’y reviens ,oui je sais la parabole a été longue mais nécessaire.

Donc Valerian et Laureline sa coéquipière/amante sont des agents spatio-temporels au service de Galaxity capitale d’un empire galactique.

Ils voyagent dans l’espace et le temps pour protéger les intérêts de Galaxity.

La collection présente 23 albums et un petit dernier paru tout récemment qu ressemble a une remise à zéro de la série, à voir.

A voir également le film réalisé par Luc Besson ,pas pour le scénario ,sans surprise mais pour l’univers de la BD qui pour moi est bien restitué à l’écran.

Une jolie coquille vide.

Au rayon film de SF français récent : le dernier voyage.

Réalisé par Romain Quirot et sorti en 2021.

L’histoire : une lune rouge menace de percuter la Terre et le seul astronaute capable d’empêcher le désastre  refuse d’accomplir la mission, du coup tout le monde le recherche.

Le film n’a pas été super bien reçu mais je pense qu’il faut lui donner une nouvelle chance.

 Les vacances de Noël approchent à grands pas et vous aurez du temps pour visionner des séries  lovés sous la couette en sirotant un chocolat chaud.

Comment ça c’est cliché !

Dites moi dans le blanc du haut-parleur que ce n’est pas vrai !

On va commencer par du classique : X-files ,la base

Ça a presque 30 ans, OK mais c’est bien quand même.

Pour les deux du fond qui n’ont pas suivi ou qui n’étaient pas nés à l’époque.

Au frontières du réel en version française raconte les enquêtes d’un duo du FBI Fox Mulder et Dana Sculy qui parcourent les États-Unis pour résoudre avec plus ou moins de réussite des affaires mystérieuses.

Au menu ovni, alien ,fantôme, mutant , et conspiration sur une présence d’extraterrestres sur Terre.

Si vous voulez une série un peu plus récente ,allez voir Fringe , successeur déclaré de x-files, la thématique est la même mais forcement plus contemporaine .

Avec en plus une intrigue sur un monde parallèle.

Série créée entre autre par J.J. Abrams

Je reviens une seconde dans la catégorie films ,ceux de J.J. sont a visionner également

Si on aime les lens flare…

Alors le lens flare comment dire…

C’est une technique classique dans le cinéma, il s’agit de pointer une lumière vive vers l’objectif de la caméra lors du tournage mais sans être dans le champ de la caméra.

Ça donne des stries horizontales très lumineuses à l’écran pour donner un effet réaliste en faisant croire à des effets lumineux indésirés ,et si en plus c’est filmé caméra à l’épaule on a presque l’impression d’un reportage pris dans le vif de l’action.

Et J.J. il aime ça les lens flare …

Et il a fait quoi J.J. ?

Il a tout simplement relancé la franchise star Trek au cinéma, rien que ça et bien en plus !

Il a réalisé aussi Super 8

Des gamins qui réalisent un film avec les moyens du bord sont témoin d’un accident de train qui va semer le chaos dans une petite ville américaine.

Ce film est une sorte de mise en abime, on voit la production du film amateur se faire tout au long du « vrai film »

Et ils profitent de chaque occasion pour des « plus value de production » , ils filment dans une gare abandonnée, un train passe , ils s’en servent.

Après l’accident l’armée débarque dans la ville, pas de problèmes : on tourne une scène avec des militaires en arrière-plan.

Autant les jeunes sont innocents et accaparés par le tournage , autant pour les adultes, c’est pas la même soupe parce que l’accident , ce n’est peut-être pas vraiment un accident….

J.J. a tourné aussi hum ,hum Star Wars 7 et 9 .

Vous en faites ce que vous voulez mais j’ai un problème avec cette trilogie.

Bon le 7 , c’est une resucée du 4 ,admettons fan service, tout ça , tout ça.

Passons sur le fait que Rei se découvre des pouvoirs Jedi en 5 minutes … , nul n’est parfait

Le 8 réalisé par Rian Johnson crache littéralement à la gueule du 7

J.J. revient pour le 9 en essayant de tout rattraper en sortant un cadavre du placard , quasi littéralement.

Bref ,ça reste du grand spectacle mais l’ensemble n’est pas vraiment cohérent.

J’en étais arrivé où, ha oui les séries !

Toujours dans la catégorie vieilles séries, Stargate sg 1

Extension du film réalisé par Roland Emmerich en 1994 elle raconte les aventures d’un groupe d’explorateurs militaires et civils qui explorent des mondes extraterrestres par le biais de la porte des étoiles.

C’est un vortex qui permet de voyager quasi instantanément dans tout l’univers.

La série va durer 10 ans de 1997 à 2007 et verra les personnages principaux affronter divers dangers et situation cocasses avec en fil rouge la lutte contre les Goa’uld un peu à l’image des Klingons dans star trek.

Là vous vous dites, il cherche à nous paumer ou quoi ?

Non pas vraiment ..

Juste pour dire que pour faire une bonne série , il faut un bon méchant récurent ,un méchant sur le quel on peut compter ,qui va se montrer cruel et impitoyable mais aussi incompétent et malchanceux.

Ben oui si le méchant gagne, s’en est fini des nos héros et clap de fin.

Donc les Klingons c’est de méchants mais qui ne gagnent jamais.

J’en reviens à Stargate , c’est une série de qualité avec un Colonel o’neill , le perso principal ,doté d’un humour piquant qui fait entre autres le charme de cette série.

A noter qu’elle a eu droit à 2 séries dérivées.

Stargate atlantis qui pour moi est un ersatz de la série originelle avec une équipe qui copie  voire parodie l’équipe de SG 1.

L’autre série drivée par contre, c’est pas la même limonade Stargate Universe

Si on retrouve le cadre stargate , on est à 100 lieux de SG1.

C’est sombre ,déprimant , limite angoissant.

L’histoire ; des terriens échappent à une attaque goa’uld sur une base avancée et se retrouvent projetés par une porte des étoiles dans un vaisseau inconnu.

Va alors commencer une errance au fil de différentes planètes qui leur permettront ou pas de retrouver le chemin de la Terre

Je dit ou pas car la série a été annulée au bout de 2 saisons faute d’audience et de finances.

Et on ne saura jamais ce qu’il deviendra des personnages.

L’ambiance volontairement noire de cette version de Stargate est pour mi une réponse à une série qui est apparue quelques années plus tôt et qui elle a parfaitement fonctionné.

Battlestar Galactica version 2004 suite de la série de 1978.

La non plus ça ne va pas être la grosse marrade .

On suit la fuite de ce qui reste de l’humanité suite à l’attaque des cylons, race de robots humanoïdes qui se sont retournés contre leur créateurs, tiens tiens !

Les humains sont à la recherche d’un hypothétique havre de paix : la Terre .

Elles est imprégnée des attentats de 2001 aux états unis et ça se ressent tout le long des 4 saisons.

Qui a dit qu’une série devait être drôle pour être bien ?

Une noirceur justement dosée , un réalisme dans les rapports humains ,un peu de psychologie de l’humain quoi.

Voila comment on fait une bonne série

Jusqu’à présent je vous ai parlé de série qui ont connu une diffusion classique , à savoir par la télévision.

Il faut dire qu’à l’époque de leur première diffusion l’offre de vidéo à la demande sur internet n’existait pas ou très peu.

Voire même qu’internet n’existait pas pour le grand public.

Depuis quelques années ont commencé a fleurir les sites de streaming. Techniquement le streaming a permis une plus grande fluidité dans le visionnage de ces séries.

Plus besoin de télécharger un épisode en entier avant de pourvoir le regarder.

Tout ça pour dire que l’offre de série de SF a explosé grâce à ces sites qui deviennent créateurs et pas seulement diffuseurs.

Je ne vais pas pouvoir vous faire un tour complet de ce qui est disponible et je dois vous avouer que je n’ai pas tout vu

J’ai une vie a côté de cette émission

Je vais vous parler d’une série surtout que j’ai découvert sur Amazon Prime vidéo.

Ce n’est pas pour leur faire de la pub, ils n’en n’ont pas besoin c’est juste pour que vous la retrouviez.

Netflix et Disney plus ont surement aussi leur pépite.

Le série dont je veux vous parler, c’est Tales from the loop.

La genèse de cette série est atypique ,elle est créée à partir d’illustrations .

De Simon Stalenhag ,vous les avez peut-être déjà vu.

Elles sont reconnaissables au premier coup d’œil , il s’agit de manière générale de paysages ruraux au milieu desquels trône un robot ou une structure qui semble provenir d’un autre monde.

Ce sont ces illustrations qui ont donné l’idée à Nathaniel Halpern d’en faire une adaptation télévisée.

En résultent 8 épisodes d’environ 1 h qui présentent une histoire différente à chaque fois mais qui restent dans l’univers de la série.

 Tales from the loop raconte les histoires de différents protagonistes qui habitent une petite ville dans ce qui fait penser à l’Europe du nord.

Ce n’est pas spécifié mais l’atmosphère qui y règne fait furieusement écho à l’image que j’ai de la Scandinavie.

Ça ressemble beaucoup à notre réalité mais avec des touches divergentes, par exemple la robotique associée à l’intelligence artificielle est très présente.

L’action se situe dans les années 80 ,la petite ville jouxte un laboratoire dans le quel on trouve un accélérateur de particules.

Et les expériences menées dans cet endroit ont eu des répercussions à l’extérieur.

Des phénomènes inexpliqués se produisent ici et là.

Comme je vous l’ai dit ,c’est plus une question d’ambiance , le style est plutôt contemplatif.

Ce n’est pas du grand spectacle mais un subtil mélange entre la réalité et un monde parallèle ou se côtoient la plus frappante des banalités et une pointe d’exotisme science-fictionnelle.

Bref un très beau moment a passer en ces froides journées qui s’annoncent.

Voila un tour succinct de ce que j’avais à vous proposer pour faire plaisir ou vous faire plaisir à Noël et plus généralement en cette fin d’année.

Il y aurait tellement d’autres œuvres à découvrir mais il me faudrait plusieurs émissions pour les présenter et vous plusieurs semaines de vacances pour les savourer.

Le choix des créations présentées est totalement subjectif et peut être sujet à discussion.

Mais c’est encore mon émission et je parle de ce que j’aime.

Sur ce je vous souhaite des bonnes fêtes de fin d’année et vous donne rendez vous en 2023 pour un nouveau numéro de Vous reprendrez bien un peu de science-fiction ?

Post scriptum : la musique que vous entendez ,c’est sing for absolution de Muse . Allez voir le clip , il est vraiment pas mal.